• Sujets possibles non traités :D A vous de jouez pour vous entrainez !!! A vous dans les commentaires :D Faites participez !!

    Questions sur 8 pts :

    Quelle conception de l’amitié se dégage des FM ?

    Quelle image de la famille propose le roman LFM de Gide ?

    Quel rôle joue l’espace dans le roman et sa création ?

    À votre avis, quel est le personnage principal des FM ?

    Vous vous appuierez, pour répondre à cette question, sur LFM ainsi que sur le JFM.

    En quoi le titre LFM est-il déroutant ?

    Quel serait, pour Gide, le lecteur idéal des FM et du JFM ?

    Qu’apportent les lettres dans LFM ?

    Qu’apporte au roman de Gide d’être le résultat d’une si longue genèse ?

    Comparez le Journal d’Édouard et le JFM.

    Comment interprétez-vous les interventions du narrateur dans son récit ?

     

    Questions sur 12 pts :

     Justifiez la composition du roman en trois parties.

     

    À propos des FM, le romancier Julien Gracq déclare dans Lettrines (in Œuvres complètes, II, « Pléiade », Gallimard, 1995, p. 177) : « Je ne connais aucun livre dont on puisse se dire aussi sûrement, tournée la dernière page, qu’il ne recèle rien d’autre que ce que Gide expressément y a mis. » Ce jugement vous paraît-il rendre compte du roman ?

     

    « Tout ce que je vois, tout ce que j’apprends, tout ce qui m’advient depuis quelques mois, je voudrais le faire entrer dans ce roman, et m’en servir pour l’enrichissement de sa touffe. » Comment Gide a-t-il rendu opératoire dans son roman cette intention formulée dans le JFM ?

     

    Dans le JFM, Gide écrit : « Il sied […] de laisser le lecteur prendre barre sur moi — de s’y prendre de manière à lui permettre de croire qu’il est plus intelligent que l’auteur, plus moral, plus perspicace et qu’il découvre dans les personnages maintes choses, et dans le cours du récit maintes vérités, malgré l’auteur et pour ainsi dire à son insu » (JFM, pp. 71-72). Gide a-t-il mis en pratique cette résolution dans LFM, et a-t-il sa liberté au lecteur, selon vous ?

     

    Comment Gide utilise-t-il la réalité pour la transformer en fiction ? Avec LFM, Gide a-t-il réussi à écrire un « pur roman » ?

     

    Qu’est-ce qui caractérise les personnages gidiens des FM ?

     

    Comment se répondent les différents « je » dans LFM et le JFM de Gide ?

     

    En quoi peut-on dire que LFM de Gide est « le roman du roman », selon l’expression de F. Maget ? Vous vous appuierez, pour répondre à cette question, sur LFM ainsi que sur le JFM.


  • Commentaires

    1
    espiondu33
    Jeudi 3 Mai 2018 à 16:33
    2
    JteBehz
    Mercredi 16 Mai 2018 à 16:28

    Y a pas de correction pour À propos des FM, le romancier Julien Gracq déclare dans Lettrines (in Œuvres complètes, II, « Pléiade », Gallimard, 1995, p. 177) : « Je ne connais aucun livre dont on puisse se dire aussi sûrement, tournée la dernière page, qu’il ne recèle rien d’autre que ce que Gide expressément y a mis. » Ce jugement vous paraît-il rendre compte du roman ?

    3
    Mercredi 16 Mai 2018 à 18:28

    Sujets non traités ^^ donc oui il n'y a pas de correction juste des sujets pour vous entraînés comme ça ^^

    4
    Irisia
    Samedi 16 Juin 2018 à 00:50

    Saluut, avec une amie on a essayé d'imaginer des sujets pour construire des plans dessus et de ce qui en est sorti, je pense que le fait d'envisager Les FM comme un roman d'apprentissage est plutôt pas mal, voilà ^^

    Sinon, merci pour tout ce que t'as mis, ça nous donne de la matière héhéhé

    5
    Popo
    Samedi 16 Juin 2018 à 15:38

    Irisia, en quoi penses-tu que ça pourrait être un roman d'apprentissage ? J'ai pensé au fait que l'enfance est omniprésente dans le roman... mais en dehors de ça je vois pas.

    6
    Dimanche 17 Juin 2018 à 09:04

    Les Faux-Monnayeur j'ai pas l'impression que ça soit un roman d'une seule chose tellement il est complexe.

    Mais il fait partie d'un roman d'apprentissage car on voit l'évolution de jeunes personnages qui vont avoir un chemin typique d'apprentissage, découvrir l'amour par exemple de différentes manières: exemple de Bernard: il quitte son foyer va rencontrer différent types d'amour: platonique avec Laura, charnel avec Sarah, ses relations près paternel je trouve avec Edouard et ses relations avec Olivier, le fait qu'il s'émancipe plus mais qu'au final retourne à la fin au foyer.

     

    Après en plus d'un roman d'apprentissage, il y a certaines traces de réalisme même si il s'en moque énormément: le passage avec l'ange.

    Roman d'aventurier presque je trouve aussi.

    Roman d'amour.

    Ou encore roman policier avec le début: avec les faux-monnayeurs, les enquêtes des pères même si ça n'aboutit pas vraiment, l'histoire des hommes forts et le suicide final

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