• I/ Rappels biographiques

    A) Biographie de l'auteur

    Écrivain belge de 1899-1984. En 1964: naturalisé français. Peintre de famille bourgeoise. Mysticisme. Arrête études. Matelot de 1920-1961. Commence à écrire et lit beaucoup (Lautréamont). En 1922, collabore dans la revue d'avant-garde: disque verte. 1ers écrits: article Freud. En 1926-1927: peint. S'installe à Paris. Voyage énormément (1927-1939): Équateur, Espagne, Brésil, Afrique du Sud, Turquie, Italie, Chine, Japon. En 1933: Un Barbare en Asie. Carnets de voyage. En 1929: Mes propriétés. 1935: La nuit remue. En 1937-45: expositions de peinture. Se marie et multiplie les recueils. Écrit sous drogues: encadré par un médecin. Expérience volontaire + organisé. Expérience des confins de l'esprit. En 1956: Misérable miracle. 1961: Connaissance par les gouffres. Expérience peinture sous emprise de drogue: mescaline.

    Artiste original: écrit + peint. Refuse prix littéraire. S'inscrit pas dans la scène littéraire.

     

    B) Refus des genres et codes

    N'appartient à aucune école, aucun genre. Caractère hétéroclite. Refus d'harmoniser ses poèmes. P194: ne se conçoit pas comme un pro de l'écriture. L'imaginaire n'est pas volontaire. Pas de structure, vision globale. Ce qui fait le dynamisme de son écriture: imaginaire/informe. “Morceaux”: écriture de fragment, bref, peu élogieux. Michaux ne cherche par la notoriété. “ça”: difficile à cerner, pulsion, écriture est un besoin. Pas une œuvre conçu pour un lecteur. L'auteur écrit pour lui, quand ça vient, il en a besoin. Impulsion/Empressement (urgence à écrire): Idée de mouvement. Vérité difficile à trouver. Oeuvre entre rêve/réalité. Absence de thèmes. Brièveté: renouveler expérience. Multitude de genres.

     

    1ère édition, Préface: “Ce livre n'a pas d'unité extérieur. Il ne répond pas à un genre connu. Il contient récits, poèmes en prose, confessions, mots inventés, conceptions d'animaux imaginaires, notes...dont l'ensemble en constitue en constitue pas un recueil même plutôt un journal tel jour.Tel jour s'est exprimé impétueusement en imaginations extravagantes, tel autre, ou tel mois, sèchement en un court poème en prose, d'analyse de soi. Ainsi tout au long de trois ans. Les dates manquent. Mais les continuels changements d'humeur marquent à leur façon le travail et le passage inégal du Temps.”

     

    C) Structure

    33 textes: La nuit remue. 1ère édition en 1935 puis 2ème édition en 1967. 53 textes: Mes propriétés.

    Édition en 1929 avec 75 textes: 5 sections (par exemple: Une vie de chien). 2 parties: poèmes diverses. 1ère partie: La nuit remue. 2ème partie: Mes propriétés (plus récent). La nuit remue: 1 texte supprimé. Suppression textes / sections. La suppression permet autonomie et indépendance. Large effet d'écho. Permet d'accentuer l'aspect poétique. Regroupés les trois premiers: récit prose, narrateur/personnage, fantasme passé pour réel. Objet individuel qui se met en scène.

    Un point c'est tout” (p30): ouverture à l'universel. 1ère phrase: jeu de mot/dimension comique. Généralisation. Vocabulaire philosophique. Etre = essence. Chute: les sens, c'est le point (plus petite unité). Aspect comique.

     

    - “En respirant”: homme comme continent. “Nuit de noces”. “vous”: comme conseil + article. Ton didactique. P36-39: Plusieurs poèmes en prose: notice scientifique.

     

    - “Le ciel du spermatozoïde”: humain puis crabe. Homme réduit à son pénis: idée fixe. Modèle réduit de l'homme, essence morale de l'individu. Jeu physique/morale. La femme exprime l'ennui. Humoristique. Décrochage/ Aspire à l'idéal. Harmonie avec la nature. Vocabulaire recherché/rythme/sonorité. Apothéose du crabe (idéal): horizontalité (normalement pas aspiré vers le ciel). Retombé dans le prosaïque. Animal finalement soumis par l'homme. Enchâssement des éléments. Image qui déstabilise. Apparence de petites fables.

     

    - “Le Lac”: début énoncé gnomique / pseudo scientifique. Jamais l'homme / poisson.

     

    - “Dessin Commentés”: commentaire de dessin sans dessin. Pas de dessin. Représentation. P47-52/56: narrateur/personnage. Bonheur/Malheur. P56-63: récit insolite. P64-78: “Ether”. 2 séquences: inspiration / éther.

     

    - “Contre !”: registre lyrique. “Icebergs”: verset. “Ma vie”: vers libres

     

    Derniers poèmes de la nuit remue: tonalité lyrique. 2ème partie du recueil: Mes propriétés (suppression sections), décontextualisé poèmes. “Mes propriétés”. Sujet “je”. Auto-diégétique: narrateur/personnage. Offre pour réel des éléments fantasmagoriques.

    Textes didactiques: “Conseils aux malades”. Maladie, souffrance/malheur. Intervention poète dans le réel.

     

    - “Intervention”: représentation littéraire. Intervention imaginaire dans le réel. Changement ville/habitant. “Autrefois”: romantisme. Honfleur: présent poème précédent. Village pêcheur. Respect nature: ironique. Poète: pure spectateur soumis à un ordre plus fort que lui. Passivité (soumis au réel qui lui échappe) différent à l'activité (intervention). Image qui se substitue au réel. Déconstruction du réel.

    Chameaux: incongrus: désert / exotisme. Intervention: pratique poétique.

    Notices zoologiques: “Notes de Zoologie”, “La darelette”, “Insectes”, “Nouvelles observations”, “Notes de Botanique”. Vers libre: section intitulée “poèmes”. “Je suis Gong”.

     

    - “La nuit remue” (premier poème du recueil au même titre). Comme entité extérieur/atmosphère. Parallèle rêve. Incongru. \i\ et \u\: sonorité pas très agréable. Mes propriétés: essence.

     

    II/ Forme d'écriture

    - “Maudit”: poème rejeté / maudit: malédiction plus sordide. Plainte/souffrance. Dimension tragique. Impuissance à se venger, à se guérir. Seule pouvoir du poète: prévoir son malheur. Futur: prophétie.

     

    - “Bénédiction” de Baudelaire. Mythe d'Oedipe (s'inflige lui-même une souffrance). P194-195: adresser malade. A quoi doit-servir son œuvre ? Souffrance / Image. Valeur allégorique. P172: “Chaque jour plus exsangue”. Malheur: constitutif de l'être de Michaux. Bcp de textes sur le malheur / bonheur. P90. Dialectique bonheur / malheur. Gong: “Je suis Gong”, “Intervention”.

     

    A) Éléments qui relève de l'Angoisse

    Malheur qui fait partie de l'essence de l'être. P134: “Maudit”: malheur attaché à l'identité du poète.

    triste vie qui continue”. Référence vie amère p12. Manque: P88 “Ma vie”. Tonalité élégiaque.

     

    - P172 “Chaque jour plus exsangue”: Familiarité avec le malheur. Résignation: métaphore filée (embarcation): dureté existence humaine. Lecture allégorique:voir symbole: interprétation. Pathétique, Lyrique et humoristique. Modalités exclamatives + phrases non finies: “galère”: familier ° imagine du pain. Humilité + Dérision. Jeu de proportion. Imaginaire du prisonnier. Humour rattrape poète. Cynique. Prise de distance: malheur. Vie difficile. Persos qui accompagnent poètes posent problèmes + ambiguïté + cercle vicieux. Existence dérisoire. Rapport de domination. Voyage sans destination.

     

    - P54: “Sous le phare obsédant de la peur”: dimension comique: question parenthèse. Idée de la solitude. Anxiété/Angoisse: tragique. Image du phrase: “petit halo”. Dialogue fictif: caractère fantastique de l'angoisse: titre. Malheur omniprésent sous différente forme + aspiration au bonheur. Recueil qui s'ouvre sur le bonheur. Sérénité: quiétude.

     

    - “Iceberg”: pureté proche du néant + sérénité.

     

    B) Le rapport au monde et à l'autre qui découlent du mal-être

    Thématique de l'agression.. “La nuit remue”: logique de l'absurde, pas d'action/cadre, début in medias res. Récit pesant: personnage/narrateur. “on”: mise à distance. Action absurde. Mélange éléments absurdes et logique/réel. Début logique: belette / piano ? Début de violence inexpliqué. Personnification: édredon: prolongement du dormeur. La nuit remue: cauchemar. Espace entre rêve/réalité. Apparition inexpliqué du sang: violence. Armoire semble personnifié. Lien objet / humain. Comique: commentaire. “Cette […]”: doxa, incongru. Mais: relation logique. Cruauté fait plaisir: sadisme. Début: narration puis commentaire. Adverbe en rajoute. Modèle d'emploi. Parallélisme de construction. Dépit face à une gestion de la question qui serait pas possible. Personnification. Ouverture / fermeture. Épilogue: milliers de rêveur. Couleurs qui s'opposent. Fin: contre-pied avec le début. Univers lyrique presque mystique. Espace ouvert: eau/ciel. Astral. Opposition. Cadavre différent de l'étoile du corps. Dès la 1ère section: tension violence / désir. Ambivalence d'une forme de violence. Logique d'agression comme aspiration à un univers apaisé.

     

    Cf “L'Age Héroïque”: enfantin. Epopée / Mythe. Violence ludique: Jeu. Passage humoristique.

     

    Un Chiffon”: logique d'agression qui vise le poète. S'amuse langage trivial. Image du chiffon : variation plat (on marche dessus gratuitement): relation domination. Logique d'absurde. Caractérisation milieu bourgeois + jeu. Derrière cette réalité: on profite d'autrui, piétiner les autres.

    Pathétique. Ton élégiaque. Fonctionne comme une fable. Vexatio: individu humilié en société.

     

    Persécution”: état constant / aggravation: mal-être du poète. Déstabilisation début: “épaisseur”, “filants”: faible ? Paranoïa ? Agression particulière: Adversaire inconsistant. Chaque contact avec lui: agression. Passants. Racine: ennemi: essence.

     

    Bétonné”: Métamorphose. Chute en décalage. Disproportion comique. Poète marginal + solitude.

    Amies: embarras + cacher marteau. Transposition éléments: onomatopée.

    Expression spontané: invention langagière: propre au poète. Langage expressif. Harmonie initiative: /s/ : “qui sont ses serpents qui sifflent sur vos têtes”: sifflement du serpent.

     

    Mon Roi”: thématique de l'agression. Violence.

     

    Contre”: violence intériorisé / extériorisé. Création paradoxale / intangibilité. Rejet ordre/esthétique: négation. “sans plan et sans ciment”: violence ontologique, esthétique voir métaphysique. Sadisme / Masochisme: “Nuit de Noces”. Faire souffrir autrui. Registre: comique, humour noir, effet d'étrangeté, défamiliarisation, texte de jouissance, fantasme, connotation sexuelle, dimension parodique, mode d'emploi, recette, hypothèse: “Si”. Familiarité, Action subi/absurdité: contraste. Femme: mal-traité atténué par l'humour. Agression qui dure. Impuissance à exercer. Violence: empathie. Violence épique. “Age Héroïque”, “A mort”.

     

    - “Mes propriétés”: image spatiale. Vide/Plat. Instabilité. Absence de relief. Incomplétude. Manque: caractère de Michaux. “Petit”. Passivité / Faiblesse poète: “Une vie de chien”. =Intervention poète dans le réel: dans l'ordre du langage, des textes d'autrui. Violence créatrice: autres, livres (destruction langage qui créé poésie). Chaque poète: consistance et mal-être.

     

    Le sportif au lit”: actions par les rêves. p25: homme-serpent: projection du poète (matérialise le manque / mal-être). Grossissement monstrueux p20. Disproportion. Mal-être / Angoisse du poète: anéantissement. Fatigue: “Au lit”: Dédoublement esprit / poète.

     

    1) Problème de l'être. Écriture du mal-être

    Angoisse: métamorphose. Instabilité. P187: “Mon Dieu” / Prier. Appel à la destruction.

    Décalage. Aplatissement: métamorphoses. P43: “Dessins commentés”: Transformation / Métamorphose.

    Emme et son parasite”: comique grivois. Projection poète. Comique / Burlesque. Dimension pathétique. Le parasite se nourrit d'Emme. Fusion. Hypallage: Cherche une protection.

     

    Emme et le vieux médecin”: point de vue microbe. Décalage. Frontière homme / animal.

     

    Conclusion: Pas de fixité. Tout est Mouvant: se métamorphose. Changement: ambivalence dynamique, qui fait souffrir. Moi: se change. Pluralité figure du sujet. “Betonné”. Main gauche autonome. Pas d'unité de moi. “Emportez moi”: vers libres, quatrain, monostiche. Anaphore, registre lyrique: appel à l'évasion (dimension pathétique / lyrisme). Passif. Espace se rarifier. Association à la mort: haleine, feuilles mortes. Os / Articulation. Espace de plus en plus restreint. Esthétique du martellement: sonorités / allitérations.

    1er §: destruction/disparition univers idéal. Baiser: dimension érotique. 2ème paragraphe: cheval.

    Anéantissement / Emportement. Trompeur. Contradiction du poète qui débouche sur fixité.

    Prolifération objet: rien n'est fixe.: de créatures monstrueuses. Cf Tentation de St Antoine.

     

    Les yeux” p 163. Énumération: irréel. Mise en mouvement. Brouillage codes / frontières. Vertige ontologique. Refus frontières à tous les niveaux. Abolition forme fixe.

     

    2) Préserver sa santé

    a) Activité autarcique

    Considère que l'écriture: tentative résoudre problème. Écriture replié sur lui-même. Mise à distance figure de l'écrivain p173 “Amours”: attaques contre écrivains. Soumis aux regards d'autrui. “Homme de lettres”. Écrivain: fermé aux autres. Lui-même matière de sa production. Séparé des autres. Livre: visée existentielle. Mieux vivre. Forte présence du “je”: pluralité du “moi”. Figure de l'explorateur. Expérimentateur ( “Intervention”). Rêveur. Posture de témoin. “ Iceberg”, Michaux.: lyrisme, dimension incantatoire, présence du je, adresse direct. Images surréalistes. Personnification. Sacralisation. Éternité: absence de vie: mort. Référence: Bouddhas: sérénité / attachement. Connexion avec la nature.

     

    b) Aspiration bonheur et écriture thérapeutiques: travail de l'imagination

    Poème: façon d'exorciser la douleur. “Crier”: poids des conventions sociales. La souffrance d'autrui dérange. Cacophonie: montre une souffrance réel. Jeu concret/abstrait. But: ne pas communiquer souffrance aux lecteurs. Mise à distance de la souffrance par l'humour. Dimension magique: exorcisme. Panaris: dégoût.

    Mes occupations”: ironie. Habitudes: aime topos les gens (par la pensée): se rebeller dans l'absurde.

    Différent de la maltraitance. Problème d'autrui. Réalité douloureuse. “L'Avenir”. \ma\ : variation malheur. Nommer sans nommer le malheur. Dimension incantatoire. Improvisé le malheur par les morts.

    4 vocatifs. Mouvement: Jeu des sonorités, monde imaginaire, langage (cerner le malheur), exorcisme par ruse. Tenir en échec les puissances environnantes du monde hostile.

     

    c) La puissance du dire: langage presque magique

    Je suis Gong”: tension mollesse / dureté (“dure”). (je suis gong et aoute). Antithèse + “joie et tristesse” + participe passé “mêlées”. Tournures importants: “il y a”. Lyrique: “je”, emploi du présent. Image de l’œuf (connote la vie): triviale / concret différent du chant de ma colère (abstrait). Disproportion. Figuration intérieur du poète. Agitation. Univers: microcosme. Éléments disproportionnels. Art poétique fondé sur la colère. Accumulation d'épreuves: “par lamelles”. Intériorité: souffrance possible. Image du gong: oriental.

    Peut résonner face aux malheurs. Art poétique. “Contre”: texte polémique. Lyrisme e protestation, révolte.

    Je”: investissement de Michaux.

     

    Contre”: Art Poétique: Poésie fondée sur la description. Parole qui fonde. Absence du plan, ciment: Hypallage. Construit avec rien, du vent avec un édifice qui en disparaîtra pas: braire (cacophonie pour exprimer, la révolte). Éléments triviaux. Opposition à l'ordre / organisation. Poésie: doit libérer de toutes les contraintes. Entreprise de déconstruction. Jeu rythmique: registre lyrique. Glas: mélange registre (lyrique / comique). Dimension grotesque. Humour noir. Monde étranglé: absence de parole. Ventre froid: pulsion réfréné par discours religieux. Rappel cacophonie Dieu. néant”. Tu: destinataire violence poème (tous). Chien crevé: image trivial / grotesque. Cadavre exquis. Fidélité. Disproportion tonnes / grammes. Révolte extrême. Avant dernier: aphorisme. Animaux hostiles / brutalité. Rapport de force. Poète: se met du côté de celui qui mange. Violence: caractère démoniaque. Dernier §: ton prédiction. Poète comme un prophète. Ironie. Élévation du ton. Retombée. Rappel condition limitée de l'homme. Image triviale; Fin: 4 monde: 4 points cardinaux. Sublime processus. Image de l’écartèlement: destruction du corps: destruction échapper à l'entrave du corps. Poésie: entreprise de libération: image de violence: détruit ce qui présente les limites. Constance de l'image de la violence: thérapeutique de la lecture. Langage capable de dissoudre le mal: incantation (répétition). De l'énergie dans la diction. “Articulation”: violence, dimension sexuelle.

     

    d) Image

    Revanche sur le réel / tampon entre poème / réalité. Expérimentale: le sportif du lit. Invention: langage.

    Littérature: inverse rapport de force. Événements burlesque: atténuation du malheur.

    Démiurge du poète grâce à l'image. “La Parpue” / “Contre”. Création nouvelle réalité.

     

    e) Quête du bonheur

    Vers la sérénité”, “encore des changements”, “gong” (bouddhisme): objet asiatique. Aspiration sérénité. Libération par l'humour: grotesque / humour noir: “L'âge héroïque”. “Nuit de mou”. “Un Chiffon”: image du dégonflement / jeu d'expression. “Bétonné”. Langage: injures. Onomatopées. Jeu noms propres. Poésie du défoulement

     

    3) L'oeuvre . Lecteur

    Postface: dimension exemplaire. Peut libérer son lecteur. Utilité thérapeutique. Communautés des inadaptés. “Contre”: frères donnés. “Conseil aux malades”. “Une vie de chien”: poème métaphysique.

    1ère étape: vie sous le signe du malheur. 2ème étape: raison de la fatigue du poète lié aux interventions: détruit le réel. 3ème étape: rapport aux textes: déconstruction. Existence sous le signe du sabotage. Lecture: déconstruction du réel.: la construction qui passe par la déconstruction. Valeur de la littérature: ça sert à rien selon Michaux. On ne va pas devenir meilleur en lisant un livre. Différent de l'histoire littéraire.

    Lecture qui passe par le sabotage. Expérience proche. Poème: divertissant. Ne transforme pas l'intériorité de l'être. Lecteurs: destabilisés. Littérature pour Michaux: déconstruction des codes.

    Jouissance / Aider à vivre/ plaisir: libération de l'imaginaire, sérénité, comique


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